M2 Fred Forest

Copyrigth fred Forest et adgp
Le M2 artistique de Fred Forest

Cette « œuvre » se constitue d’une succession de faits et d’événements qui rendent au premier abord malaisée la lecture dans son ensemble compte tenu de sa complexité. Le projet démarre sous le nom du Mètre carré artistique pour se poursuivre en Mètre carré non artistique et se prolonger par l’« Appel d’offre international. Spéculation M2
artistique » publié dans la presse. De plus, notons que cette notion de « mètre carré artistique » sera le point d’amorce thématique de nombreux autres projets du Territoire du mètre carré à Anserville (à partir de 1980)
au Territoire des réseaux en 1996 et sera par conséquent cité chaque fois d’une façon indépendante en relation des dates de réalisation.
Le propos de l’artiste avec cette œuvre qui durera tout au long de sa vie étant de créer un narratif qui selon les époques et les évolutions sociales et techniques sera de créer sous forme de séquences des moments illustrant l’actualité au sens large du mot.
Le mètre carré artistique
Au début de l’année 1977, Fred Forest crée une société civile immobilière dite du « mètre carré artistique »,dont les statuts sont déposés légalement devant notaire où il procède à l’ouverture d’une SCI, (Société civile immobilière) puis achète un terrain d’une surface de vingt mètres carrés, divisé en vingt parcelles égales, situé sur la commune de Filingues, près d’Annemasse à un agriculteur Il aura recours à un géomètre du cadastre pour opérer la parcellisation.

Quelques semaines plus tard, est publié dans le quotidien Le Monde daté du 10 mars 1977, un encart publicitaire intitulé « Placez vos capitaux à deux pas de la frontière suisse », avec pour objectif la mise en vente de « mètres carrés artistiques », correspondant aux parcelles inscrites au cadastre du terrain acquis par l’artiste, dans le cadre d’une vente aux enchères prévue le 22 mars 1977, à l’Espace Cardin, à Paris, « œuvre » numérotée initialement 83 bis « M2 artistique », dans le catalogue. Le lendemain de la publication de l’offre par voie de presse, l’artiste est convoqué par les services de la répression des fraudes auprès du ministère de l’intérieur, suspecté de publicité mensongère. Un rapport est rédigé, à la demande du procureur de la République, par des brigadiers de la gendarmerie d’Annemasse s’étant rendus sur les parcelles de « mètres carrés artistiques », attestant le caractère non artistique du lieu. Il ne faut pas omettre de mentionner que ce placard publicitaire a été publié à la demande de l’artiste, et non sans difficulté, non pas dans les pages à l’époque dévolue à l’art mais dans celle de l’économie afin que la transgression soit encore plus grande. Forest à dû passer plus deux ans pleins pour faire accepter sa publicité et avoir deux nombreux rendez-vous avec son administrateur Jacques Sauvageot qui s’est avéré avec beaucoup d’humour à être un complice très utile afin de convaincre le Directeur des rédactions opposé fermement au projet, sous prétexte qu’un journal sérieux comme Le monde ne pouvait s’adonner à de telles fantaisies…Jacques Sauvageot me souffla à l’oreille selon lui la solution qui était la meilleure façon de faire fléchir les résistances du côté de la rédaction en chef. Vous devez obtenir un autre partenaire national pour faire votre action. Cela rassurera dans la maison tous ceux qui sont opposés à votre publication. Me voici donc sans entregent parti en quête d’un parrainage. Ne pouvant une fois de plus ne compter que sur moi j’ai donc eu recours nécessairement à mon imagination. J’ai démarché successivement France Soir, Le Parisien, l’Aurore, sans succès mais sans résultat, j’ai donc pensé aux radios nationales où Jaques Paoli avait une émission quotidienne de forte écoute qui se nommait Carré bleu. Carré bleu et mes carrés blancs devaient fonctionner en parfaite synergie
L’affaire était dans le sac !
Le mètre carré non artistique
Suite à cette mise en doute de la qualité et du statut artistique de la proposition de Forest, ce dernier fait connaître l’affaire par communiqué de presse, engendrant l’édition de brèves et d’articles dans les journaux
généralistes et économiques, relayant la décision.
Le 20 mars 1977, sur ordre du Parquet, la Chambre de Discipline des Commissaires-priseurs interdit à Maître Binoche de procéder à la vente du « mètre carré artistique », ce qui amène Fred Forest à proposer, en remplacement, un « mètre carré non artistique » (numéroté 83 ter dans le catalogue des ventes), à savoir une pièce de tissu blanc, d’une surface d’un mètre carré, dont l’artiste précise le coût d’achat, soit cinquante-neuf francs. Ce textile fut déposé au sol à l’entrée de la salle des ventes, se faisant ainsi piétiné par les auditeurs et participants, puis fut mis en vente, pour atteindre en ultime enchère, le prix de six mille cinq cent francs.
On aura bien compris qu’au titre de l’art Fred Forest détourne les règles que régissent la loi et opère à la mutation d’un terrain sans valeur au statut d’œuvre d’art. Plongeant dans l’embarras le Procureur et les gardiens de la loi devant ce cas d’espèce dont la nature échappe à leurs critères habituelles.
Ce faisant Fred Forest crée un événement en alertant la presse par de communiqués qui ne tardent pas à faire leurs effets car cet artiste qui travaille avec les outils de la communication moderne et non plus avec le pinceau est avant tout un producteur génial d’événements.
Cette action est prolongée quelques mois plus tard. Le 20 septembre 1977, Le Monde publie un second encart publicitaire produit par Forest, intitulé « Appel d’offre international. Spéculation M2 artistique ». Il lance un appel d’offre international une technique financière innovante qui a permis à Antoine Riboud de devenir leader en France en s’appropriant du marché par une OPA célèbre.
Fred Forest a bien connu Antoine Riboud qui lui a rendu visite à son retour d’Algérie en banlieue Parisienne où ils avaient dû diner au sol sur un tapis l’artiste démuni n’ayant pas un meuble chez lui…
Bref dans son nouvel encart dans Le Monde l’artiste invitait, nouvelle provocation, les potentiels acquéreurs à retourner leurs promesses d’achat du montant de leur choix, avant le 15 octobre 1977. Cette annonce fut également publiée dans le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine ; une tentative de parution dans les colonnes de Newsweek, aux Etats-Unis, fut en partie avortée, la direction du journal ne saisissant pas finalement la nature, ni le statut de l’annonce soumise par Fred Forest. Une conférence de presse présentant le projet et ses différentes étapes, est organisée dans les salons de l’Hôtel Crillon le 26 octobre 1977 ; les enveloppes, contenants les promesses d’achat, envoyées à Maître Le Marec, huissier de justice, sont tour à tour ouvertes et annoncées au public présent. La fin de la séance sera perturbée par l’intervention inopinée d’un groupe de « punks ». Commentaires de Fred Forest :
« Appropriation de l’espace de l’information aux fins de faire passer un message critique sur les pratiques de la spéculation immobilière particulièrement florissantes à cette époque-là.
Le concept de l’action entreprise ici repose sur le montage d’un dispositif visant à créer une "œuvre-information" critique. Une œuvre qui prendra forme et existence dans le corps même de la grande information, utilisant pour ce faire les supports médiatiques nationaux. L’œuvre envisagée a pour objectif premier la dénonciation des pratiques de spéculation (liée à des scandales financiers particulièrement juteux à l'époque, dont ceux de la Garantie Foncière et des frères Willot, au nombre de quatre, surnommés les Dalton) en mettant en relation
parodique la spéculation dans l'immobilier avec celle qui s'effectue d’une manière aussi effrénée que joyeuse dans le marché de l'art.
En vue d’être en mesure de créer cet " événement " médiatique, l'artiste met en place une stratégie de communication [...] »
Cela aux fins de donner à cet art nouvel qu’il prône une existence non confidentielle

« Le " m2 non-artistique " comme nous l’avons dit n’est qu’un vulgaire morceau de chiffon blanc, acheté le matin même, pour la somme modique de 59 FF, revendu le soir avec une plus-value énorme ! Forest avec sa démonstration nous donne " à voir " les mécanismes de la
spéculation, les mettant en scène avec leur propre rituel dans le lieu social et professionnel où ils s'effectuent habituellement. La spéculation, en tant que telle, est remise en selle dans " l'espace médiatique ". Les plumitifs et les commentateurs s’en donnent à cœur joie. Dans
l’ignorance la plus totale, ils contribuent à la création d’une œuvre d’art déjà historique. Les retombées de la presse, aussi bien écrite qu'audiovisuelle, sont considérables. La transgression du prix jouant encore un rôle dynamique comme l’avait déjà été celle des autorités officielles. Du fait de la sensibilité aiguë du point de vue médiatique à la circulation et au traitement de l'information dans nos sociétés, Forest a
su détourner et " subvertir ", en les investissant de l'intérieur, les médias. Les asservissant à la cause de sa démonstration, c'est-à-dire à celle de son " œuvre ".
Une œuvre que l’on peut appréhender sous forme d'une
constellation d'informations que son action fait émerger par la force du dispositif et de l'événement médiatique crés. »
(Propos extraits du site personnel de l’artiste : target=_new>http://www.webnetmuseum.org


target=_new>http://webnetmuseum.org/html/fr/expo-retr-fredforest/actions/20_fr.htm#text



Sources
- Archives INA – Fonds Fred Forest : AR E ORI 00013262 INA 14 ;
AR E ORI 00013262 INA 21 ; AR E ORI 00013262 INA 30
Documents présentés : extraits du catalogue de la vente aux enchères organisée à l’Espace Cardin (mars 1977) ; compte-rendu de l’ensemble de l’action (par Fred Forest) ; certificat d’authenticité établi par Pierre
Restany ; compte-rendu du déroulement de la conférence à l’Hôtel Crillon.

EXPO OFFICIELLE FRED FOREST CENTRE POMPIDOU JUIN 2017

Cette expo a été confirmée depuis le départ d'Alain Seban par Serge Lasvignes nouveau Président du Centre Pompidou ainsi que par Bernard Blistene Directeur du MNAM.

PERFORMANCE SUR L'OSI

L'artiste organise à son propre compte le 1er novembre 2015 cette Exposition performamce sur l'OSI à titre préparatoire de son exposition rétrospective officielle programmée pour Juin 2017, de façon à manifester de sa distance comme de son entière liberté à l'égard de l'Institution P

Pour confirmer votre présence et participer de manière active à la performance de l'OSI (oeuvre système invisible), envoyez un e-mail à: participationforest@gmail.com,

Pour participer à distance:
http://participationforest.com



Devant Beaubou2013 copie.jpg

PERFORMANCE OSI FRED FOREST CENTRE POMPIDOU 1er NOVEMBRE 2015

LIENS DE COMMUNICATION POUR L OSI

REPORTAGE EN DIRECT SUR LES RESEAUX SOCIAUX DE LA PERFORMANCE DE FRED FOREST ET EXPERIENCE DE DIFFUSION VIRALE

Vous pourrez ainsi à distance participer à l’expérience de communication virale qu’introduit l’artiste dans sa performance participative au Centre Pompidou le Dimanche 1er novembre à partir de 16:15

Broadcast en live sur:  
https://twitter.com/sociologicwalk


https://twitter.com/sociologicwalk
http://twitter.com/fred_forest
https://www.facebook.com/fredforestart
http://instagram.com/fredforest
#OSI #fredforest sur ces médias (hashtags à utiliser pour chaque personne diffusant ou rediffusant )
Vous pourrez également visualiser les OSI sur vos écrans sur le lien et participer:
http://participationforest.com
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AVANT PREMIERE EXPO FRED FOREST CENTRE POMPIDOU PARIS

INVITATION

AGENCEMENT DU CALENDRIER FRED FOREST AU CENTRE POMPIDOU OU EXPOSITION A TIROIRS

EN AVANT PREMIERE DE SA RETROSPECTIVE PREVUE AU CENTRE POMPIDOU POUR JUIN 2017 FRED FOREST ANNONCE A SON INITIATIVE PERSONNELLE UNE EXPOSITION PREPARATOIRE ET ANTICIPATRICE DONT LE VERNISSAGE EST PREVUE LE DIMANCHE 1er NOVEMBRE A 16:00 au 4 ème étage du Musée prévoir 30 minutes avant à cause de la queue ce jour là. (Entrée libre)

Il s’agit pour l’artiste d’une mise en perspective opérationnelle des expositions telles qu’elles pourraient se dérouler en ces lieux à la fin du 3 eme millénaire. C’est à dire par la libre occupation de l'espace par les artistes eux-mêmes, sans agents de la conservation, sans commissaires et surtout sans fonctionnaires ou représentants de l’Etat.

Il y présentera lui-même lors d’un tour operator commenté:

« L’OSI OU L’ŒUVRE-SYSTEME INVISIBLE »
Un pré-vernissage, hors norme, programmé dans les Galeries contemporaines au 4 eme étage du Musée

Une oeuvre participative en expansion appelée à se multiplier sur les murs, en s'appropriant l'espace total du musée, avant de se fondre dans l'invisibilité du cyberespace et de retrouver enfin toute sa visibilité participative à distance sur l'écran de votre ordinateur...

http://participationforest.com

Pour manifester votre intention de présence
participationforest@gmail.com


On le disait fâché à mort en 2015 avec le Président du Centre Alain Seban ... Cette nouvelle aura de quoi surprendre mais la photo ci-jointe démentira ceux qui l’affirmaient à l’époque haut et fort.

Ce retournement de situation à 360° relève de la compréhension complice entre deux individus faisant preuve d’intelligence et de sens pragmatique. Deux êtres qui, au-delà du pré carré répondant à leurs prérogatives et exigences respectives, ont décidé, d’un commun accord, de signer la paix des braves. Cette perspective d'exposition a été contresignée depuis par Serge Lasvignes, le nouveau Président du Centre et Bernard Blisténe, le Directeur du MNAM, pour une exposition rétrspective programmée pour juin 2017.
Avec toute liberté et la légitimité qu’il détient en sa qualité d’artiste ce dernier a décidé d’une programmation originale qui se fera en deux temps

1- Une expo/performance préparatoire à sa seule initiative
2- Une expo officielle avec un commissaire responsable nommé par le Centre


On peut regretter du côté de l’artiste l’abandon d’une position contestataire aussi exemplaire qu’était la sienne, mettant depuis plus d’une quarantaine d’années l’institution et le marché en cause… et, d’autre part, celle des responsables de l’Institution, prêts à récupérer à bon compte un artiste frondeur. Frondeur certes, mais pragmatique, qui ayant pris la mesure de la veulerie généralisée du milieu de l’art et de ses compromissions, a décidé, en toute innocence, de garder ses distances sans en perdre le bénéfice pour son image Et pour preuve de sa totale liberté d’action l’annonce faite par le présent communiqué.


On avait un peu oublié (et l’institution la première…) le profil hors norme de ce pionnier tout azimut pour ne retenir de son image que le côté revendicatif et agressif. Il n’est pas bon dans ce milieu de dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas...

L’occasion était trop belle pour lui avec l’OSI (L’œuvre-système invisible) de la corriger en prouvant, une fois de plus, les vertus de sa verve créatrice. Et cela même au sein de l’écrin, caisse de résonance exceptionnelle, que lui offre certes aujourd’hui le Centre Pompidou sur un plateau mais... à sa propre initiative. Cette initiative cet artiste entend la conserver.
Il fallait le faire et, il l’a fait ! Confirmant de la sorte sa stature internationale, et une belle carrière, qui après être passée successivement pour parfaire cette reconnaissance par le Brésil, l’Argentine, l’URSS, les USA, les Indes, Israel, Le Liban, le... Zimbamwe… et pas mal de pays Européens, viendra mettre un point d'orgue à sa carrière dans son pays, la France au Centre Pompidou, par une rétrospective occupant la totalité du Grand Foyer en Juin 2017.


L’exposition préparatoire qu’il propose aujourd’hui au 4 éme étage du Musée illustre un essai qu’il a publié à l’Harmattan en 2006 sous le titre « L’œuvre-système invisible », prolongement historique dans l’ordre de l’Art sociologique (1974), de l’Esthétique de la communication (1983) et de l’Esthétique relationnelle (2001) soit 18 ans plus tard... » L'histoire de l'art reconnaîtra un jour les siens !

Il y développe l’idée selon laquelle une nouvelle culture est en train d’émerger dans un contexte où les interfaces se multiplient donnant accès à d’autres niveaux multiples de réalité. Cette culture, selon lui, est celle de l’invisibilité et de l’immatériel qu’il avait déjà mis en œuvre dès 1972 avec sa série des space-media et à la documenta 8 de Kassel en 1987. Un art conçu et mis en œuvre au-delà de ce qui se donne à voir... Et voilà ce qu’il prétend nous donner à voir justement dans son vernissage le Dimanche 1er novembre à 16h00 précises dans les Galeries d’art contemporain au 4 ème étage du Musée National d’Art Moderne dans les Galeries dévolues à l'art contemporain, démonstration à l’appui.



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LE DOIGT QUI MONTRE UNE OSI OEUVRE COLLECTVE SUR LES MURS DU CENTRE POMPIDOI

LORS DE LA PERFORMANCE DE L'ARTISTE UNE OSI OU AUTREMENT DIT " UNE OEUVRE SYSTEME INVISIBELE " CREE A CETTE OCCASION PAT L'ARTISTE SUR LES MURS DES GALERIES D'ART CONTEMPORAIN DU CENTRE POMPIDOU.

Cette oeuvre collective et totale fait appel à la participation du public qui est chargé de les repérer et à l'aide d'un crayon de les identifier par un léger trait.

Puis ces oeuvres en expansion dans l'espace physique du Musée passent dans l'invisibilité de l'espace virtuel d'Internet pour se visualiser à nouveau sur l'écran des ordinateurs des participants à distance. Fermant ainsi la boucle que ceux que certains ont appelés le post-internet.

Il est à noter que si l'administration du musée fait procéder à l'enlèvement ou à la destruction des pastilles représentant les OSI l'artiste ainsi que tous les participants seront en droit de demander réparation à la justice pour destruction d'oeuvre. Ce qui entre nous serait un comble qu'un musée aussi prestigieux que le MNAM se mette à détruire les oeuvres qui figurent sur ses cimaises ! D'autre part la conservation du Musée ne pourra pas alléguer en quoi que ce soit que cette initiative porte atteinte aux oeuvres exposées car les OSI prennent naissance et existence sur les murs neutres qui les séparent. P1020167.JPG

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DEMONSTRATION POUR UNE OSI POUR UN VERNISSAGE HORS NORME A BEAUBOURG

L’OSI OU LA RELATIVITE DES POINTS DE VUE SUR LA REALITE OBJECTIVE DES CHOSES « MATERIELLES » ET « IMMATERIELLES »

L’OCCASION D’UN VERNISSAGE HORS NORME A BEAUBOURG

Pour faire sa démonstration critique touchant à la réalité objective physique, à la relativité de nos perception, à la réalité sociale de l’art et ses compromissions, nul besoin pour l’artiste de convoquer ici les technologies numériques les plus sophistiquées, comme il est de mode actuellement dans une dérive de plus en plus marquée de l’art vers les techno-sciences et à son détriment. Une situation où les opérateurs sont devenus à ce jour… plus des ingénieurs que des artistes, et encore moins des philosophes. Cet état de chose, sociologiquement explicable, est consécutif à l’idéologie techniciste qui imprègne de plus en plus notre époque, au point que l’art devienne la technologie, elle-même, pour être représenté en tant que tel, par une lente et progressive substitution, qui n’est autre que la marque des temps que nous vivons.


L’artiste ici pour mener à bien sa démonstration n’éprouve nul besoin de convoquer les nanotechnologies, les quarz ou les trous noirs. Il lui suffira de mettre en œuvre comme outil son propre œil et un zest d’humour dans le contexte et le lieu qu’il s’est choisi comme présentation de son témoignage, c’est à dire le Centre Pompidou. Visant ainsi à expliciter le fonctionnement et l’usage de l’OSI à tous ceux qui ont gardé assez de bon sens et surtout d’honnêteté pour en apprécier les vertus majeures.

L’objet servant à faire la démonstration, c’est cette vulgaire étiquette autocollante de couleur blanche uniforme que tout le monde peut voir çi- contre un peu plus haut. Etiquette visible à 50 cms par tous, dont ceux mêmes dont les yeux sont atteint de myopie, à 2 m par un œil averti et les presbytes, et qui disparait enfin pour tous les individus à 15 m de distance.... Au point que certains nieront à cette distance son existence même !

Les murs des Galeries contemporaines à Beaubourg quelques soient les salles où vous trouvez ont été constellés d’OSI. A vous de découvrir où ces œuvres sont exposées. Et quand le visiteur en découvre une à lui de s’emparer de son stylo ou de celui du voisin le plus proche en la signalant à l’œil en l’entourant d’un trait léger. Et pour ceux qui voudraient apposer leur propre OSI dans le Musée rendez-vous au vernissage avec une boîte entière d’étiquettes. Vous pourrez ainsi également en distribuer à vos voisins étourdis qui les ont oublié à la maison avant de venir au vernissage de l’OSI

EN TOUTE LIBERTE D'ACTION

UNE EXPOSITION DECIDEE DANS L'INSTTUTION A LA SEULE INITIATIVE DE L'ARTISTE...

Par ce vernissage que l’artiste organise dans l’institution, à sa propre initiative et en toute indépendance, il exprime quatre éléments fondamentaux de sa pratique:

1-Sa distance critique par rapport au pouvoir de l’institution avec lequel il accepte volontiers un dialogue fructueux , à condition que celui-ci soit équilibré, sans jamais s’aliéner sa liberté de dire comme sa liberté de faire. Dont le présent vernissage vaut preuve d’exemple

2-Sa fidélité à des œuvres d’ordre systémiques dont formes et représentations échappent aux formes traditionnelles dites du “ grand art “, c’est à dire à celles restrictives des galeries et des musées, pour s’implanter dans tous les autres lieux, non marchands et marchands, que se soient les milieux urbains, les espaces de la presse dévolus à l’information générale, comme ceux diversifiés qu’offrent aujourd’hui le cyberspace.

3- Sa fidélité étroite à un art d’animation, de participation, de relation, d’intervention physique et mental, qui en constitue le substrat dernier.

4- Son attention et son adaptation permanente à l’évolution des technologies et techniques de communication et de disruption qu’elles engendrent.

L'OEUVRE SYSTEME INVISIBLE FRED FOREST THEORY

L'OEUVRE-SYSTEME INVISIBLE FRED FOREST PUBLIE A L'HARMATTAN EN 2006 osi.jpg

FRED FOREST THE MEDIA MAN N° 1 EXHIBITION ON LINE

FRED FOREST THE MEDIA MAN N° 1 EXHIBITION ON LINE
http://www.youtube.com/watch?v=Lqz63RA4Qgs

NICOLAS BOURRIAUD PRIS AU PIEGE DU MENSONGE PAR OMISSION

DANS NOS SOCIETES AUJOURD'HUI QUELLE EST LA VALEUR INTELLECTUELLE ET LA RECTITUDE MORALE POUR NOS ELITES ? ? ?

La thèse d'un universitaire tente de répondre à cette question


LE PARADIGME RELATIONNEL. ASPECTS FONDAMENTAUX DES ARTS RELATIONNELS (1952-2012)

Le 19 juin, à l'Université Catholique de Louvain, Sébastien Biset a soutenu magistralement une thèse de doctorat portant ce titre*. Ce chercheur a étudié la pertinence du concept relationnel dans l'art contemporain. Il en a retracé l'évolution depuis son origine en le situant par rapport aux courants de pensées qui l'ont encadré. Il en a rappelé les antécédents historiques passés sous silence par Nicolas Bourriaud dans son Esthétique relationnelle. Un essai appliqué aux démarches d'artistes des années 90, considérés par ce critique comme novateurs (?)

Biset a rappelé que l'art relationnel avait déjà été formulé et structuré au sein du CAP (Cercle d'Art Prospectif) dès 1973. Il a précisé comment le concept de relation avait été déjà théorisé par Fred Forest dès 1972 comme un élément majeur de son Art Sociologique et en 1985 par son Manifeste sur l‘Esthétique de la communication (Revue + - 0 Bruxelles, N° 43 octobre 85),

Une forme d'intersubjectivité reprise beaucoup plus tard par Bourriaud. Biset n'a pas manqué d'analyser les variations d'interprétations appliquées au concept au cours de ces étapes. On espère que cette étude majeure sera éditée rapidement. D'ici là, une synthèse en sera publiée sur Koregos, le site web placé sous l'égide de l'Académie royale de Belgique. Il y a quatre ans, Biset avait donné dans cette institution une conférence sur le sujet (publiée dans le Bulletin de la Classe des Arts, tome XIX, 2008, pp. 95-112).


Thèse *Sous la direction des professeurs Alexander Streitberger, Ralph Dekoninck, Joël Roucloux de l'Université Catholique de Louvain, Daniel Vander Gught de l'Université Libre de Bruxelles et Patrice Loubier de l'Université du Québec à Montréal.

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UNE CREATION DE FRED FOREST SUR SECOND LIFE AVEC LA webSYNradio

Fred-Forest-sur-websynradio-21-juin-5-juillet
2012 JUIN 16


Accéder aux articles de → Sonore, webSYNradio / Dominique Balaÿ
FRED FOREST
LES DIGRESSIONS D’EGO CYBERSTAR SUR UNE PLAGE DE SECOND LIFE
http://droitdecites.org/ EGO 9.jpg

"EXCENTRIQUE(S) OU EXCENTRICITES ? ? ? POUR QUI NOUS PREND-T-ON ?

OUI POUR QUI NOUS PREND-T-ON ? ? ?
NOUS PREND-T-ON AVEC LE PUBLIC POUR DES DEMEURES ?


NOUS DEVONS LA PHOTO CI-CONTRE DE FRED FOREST A EVE, CROISEE DANS CES LIEUX MAL FAMES, PAR LE PLUS GRAND DES HASARDS, LE JOUR DE L'OUVERTURE DES EXCENTRICITES...



Pour clore son information sur le mois de Juin le Centre d’art le Lait dont j’ai le plus grand respect pour sa directrice, Jackie Ruth-Meyer, qui a su imposer en 2011 mon exposition “Flux et reflux, la caverne d’Internet “ (1 juillet/30 octobre 2011) contre l’avis de ses pairs, les caciques du Ministère de la culture, prouvant son indépendance, là ou d’ autres suivent à la lettre leurs directives complices, affirmant des valeurs artificielles du marché, Elle qui a su mettre toujours en avant en priorité la défense des artistes sans jamais se démentir.
Mais hélas le Centre d’art le lait se fourvoie aujourd’hui (je le dis très amicalement à sa directrice) quand en exergue, pour finir le texte de son communiqué, elle choisit cette phrase antinomique de Daniel Buren :
" (...) l'art justement n'est jamais l'expression d'une liberté tous azimuts. Au contraire, il ne peut être qu'une résistance vis à vis de l'environnement culturel, politique, sociologique, économique, écologique, etc. Il est la preuve de la difficulté d'accéder aux libertés, d'acquérir quelque liberté."
(Daniel Buren. Les Ecrits, 1989. Entretien avec Catherine Lawless)

BUREN AUTOPROCLAME COMME UN RESISTANT ? ? ?
Excusez moi du peu. En voilà une des bien belles et des meilleures ! Si ce n'est le grand respect que je dois à ce " grand " résistant...
L’art de Buren vu à travers le prisme idéologique du Grand Palais en est l’exacte antinomie. Il nous dit que l'art est une résistance ? ? ? Vis à vis de l’environnement culturel ? politique? sociologique ? économique ? écologique ?

Autrement dit : " FAIS CE QUE JE DIS, NE FAIS PAS CE QUE JE FAIS " (Verset 139.4 tiré de la Bible)

Une insulte au bon sens dont il n’est nullement la peine de reprendre chaque mot pour mourir de rire et constater combien la pensée unique submerge les esprits de nos élites en général, et en matière d’art contemporain en particulier. La seule antidote à ce décervelage organisé et orchestré par les représentants du Ministère de la culture et de ses sbires depuis trente ans, voilà où s’incarne aujourd’hui la véritable résistance !

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Le communiqué en question du Centre d'art Le Lait ci-dessous :

Le mois de juin annonce déja la fin du printemps et de l'exposition Horizons persistants le 17 juin prochain. Profitez des derniers jours pour découvrir également Echos, programme de films de danse et d'art diffusé dans la Box des Moulins. Les conférences d'histoire de l'art contemporain continuent le 4 juin au Musée Toulouse-Lautrec, mais aussi le 14 juin au Musée / Centre d'art du Verre de Carmaux: à l'issue de cette rencontre, un pique-nique, moment convivial de partage, est organisé sur place dans le Jardin de l'Orangeraie à partir de 20h. Pierre, feuille, ciseaux présente dans la Box, du 6 au 17 juin, des productions des élèves du département, réalisées lors d'ateliers de pratique artistique menés par le Centre d'art. Enfin Et le Festin ? dont l'aboutissement était prévu le 1er juin à 19h, est reporté ultérieurement (les nouvelles dates vous parviendront très prochainement). La Boutique du Centre d'art propose encore j usqu'au 17 juin ses premières démarques et une sélection de cadeaux pour la fête des mères et des pères.

(...) l'art justement n'est jamais l'expression d'une liberté tous azimuts. Au contraire, il ne peut être qu'une résistance vis à vis de l'environnement culturel, politique, sociologique, économique, écologique, etc. Il est la preuve de la difficulté d'accéder aux libertés, d'acquérir quelque liberté."


Daniel Buren. Les Ecrits, 1989. Entretien avec Catherine Lawless
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EGO CYBERSTAR DEVANT LA MER SUR SYNradio

LETTRE OUVERTE A ALAIN SEBAN PETITION EN FAVEUR DE FRED FOREST

LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DU CENTRE POMPIDOU DE PARIS

Nous, les signataires de cette lettre de soutien, nous étonnons que l’artiste Fred Forest soit exclu de l’exposition historique VIDEO VINTAGE 1963-1983 organisée par vos services. Nous voudrions connaître les raisons pour lesquelles ce pionnier Français de l’Art Vidéo s’en trouve écarté ? ? ? S’en trouve écarté, sous prétexte qu’il ne fait pas partie de vos collections ? Quand vos services mentionnent sur la home page de votre site officiel disposer de l’une des collections les plus riches d’Europe (avec plus de 60.000 œuvres, dont 1400 œuvres vidéos...), parmi lesquelles pas une seule, il est vrai, n’est signée du nom de cet artiste ! Son absence de vos collections semble pour le moins paradoxale aux yeux de tous ceux qui connaissent sa carrière et l’apprécie... Et antinomique, de surcroit, à une mission du Centre, qui est celle, aussi, de défendre naturellement ses artistes nationaux ? Vos collaborateurs ne pouvaient pourtant pas ignorer son existence et son importance, sa notoriété internationale étant établie de longue date.
Enfin, 230 des ses œuvres vidéos sont entrées au patrimoine national par le biais du dépôt légal, à la suite d’une convention signée en 2004 avec l’INA (Institut National de l’Audiovisuel), dont les commissaires de VIDEO VINTAGE, à défaut de disposer d’une œuvre, et pour cause, aurait pu solliciter le prêt de l’une d’entre elles, afin que soit garantie la conformité historique et scientifique de leur exposition. En conséquence, il nous paraitrait souhaitable, M. le Président, que notre correspondance de soutien à Fred Forest figure en bonne place et de façon bien visible dans cette exposition temporaire, assortie de votre réponse, ainsi que d‘une façon permanente dans les salles de consultation, “ Collections Nouveaux Médias et Film “, situées dans le Musée au quatrième étage.
Dans cette attente, veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre considération distinguée
Signée de :

ALAIN DOMINIQUE PERRIN, Président de la Fondation Cartier et du Musée du Jeu de Paume
CATHERINE MILLET, Ecrivaine, Directrice d’ArtPress
PIERRE CORNETTE DE SAINT CYR, Membre du Conseil d’administration Palais de Tokyo
LISBETH REBOLLO, Directrice du MAC (Musée d’art contemporain Sao Paulo)
MARIO COSTA, Professeur Universités de Naples et de Salerne
FRANCO TORRIANI, Critique d’art
CHRISTIANE PAUL, Conservateur New Media Whitney Museum
WULF HERZOGENRATH, Directeur de la Kunstahalle Bremen, responsable de la section vidéo de la documenta 6
JEAN-MICHEL RABATE, Président de la Slought Foundation Philadelphie
PAUL ARDENNE, Critique d’art universitaire
FRANCOIS SOULAGES, Professeur des Universités Paris VIII
EDMOND COUCHOT, Professeur émérite des Universités
PIERRE MOËGLIN, Professeur des universités, Paris XII, Directeur de la MSH de Paris Nord
DERRICK DE KERCKHOVE Université de Toronto et de Naples
MARC JIMENEZ, Professeur des Universités, Paris I
FRANCESCA CARUENA Université de Perpignan et artiste
CHRISTINE SOURGINS, Historienne d'art
AUDE DE KERROS, Artiste, essayiste
CECILE CARPENA, Professeur en arts plastiques
GUY LOZAC'H, Artiste
JEAN BOJKO, Responsable de structure culturelle
CAROLINE HOCTAN, Ecrivaine
ISABELLE ROZENBAUM, Vidéaste
PIERRE ANTOINE CHARDEL, Maître de conférences
PHILIPPE SANGUINETTI, Chercheur CNRS
LWO, Artiste
SOPHIE LAVAUD, Artiste
XAVIER LAMBERT, Professeur en art plastiques

PAR ORDRE D'ARRIVEE A PARTIR DU LUNDI 9 AVRIL
Georges Mhanna, Wallich, Aliette Guibert-Certhoux, Anne-Cécile Worms, Antoine Schmitt, Jacques Percontal, Michaël Borras, Eric Maillet, Joël Hubaut etc

Suivent les noms de 32 universitaires brésiliens appartenant aux universités de Sao Paulo, Brasilia, Porto Allegre, Rio Grande do Sul…
Les noms de 7 universitaires français appartenant aux universités de Paris 1, Paris 8, Grenoble, Saint Etienne, Bordeaux, Rennes, Strasbourg…
Les noms de 4 universitaires américains appartenant à la New York University, la Cuny Univesity, au MIT (Massachussetts Institute of Technology,) à la Pen University de Philadelphie,
-
Sur toutes les personnes qui sollicitées personnellement n'ont pas signées la pétition :
MICHEL ONFRAY Il me dit que le combat est juste mais qu'il regrette sa personnalisation
JACK LANG
FABRICE BOUSTEAU
ANNE-MARIE DUGUET
JEAN LUC CHALUMEAU
FRANCOIS BARRE
qui n'ont pas répondu à l'heure actuelle, malgré une lettre de rappel

P1030176 copie.jpg

A BIENAL 3000 DE SAO PAULO ENTRA EM CONCORRENCIA DIRETA COM A BIENAL OFICIAL DE SAO PAULO

A BIENAL 3000 DE SAO PAULO ENTRA EM CONCORRENCIA DIRETA COM A BIENAL OFICIAL DE SAO PAULO

A derrota do Brasil na última copa do mundo deixou um gosto amargo, talvez de cólera, no coração de todos que amam este país.
O próprio presidente Lula deixou-se levar a fazer colocações duras em relação àqueles que considera responsáveis por uma catástrofe que muitos julgam nacional.

O esporte de fato contribui tanto quanto a política para o prestígio de uma nação. O esporte, a cultura e a arte são igualmente vetores de influência não negligenciáveis. O Brasil, com a próxima Bienal de São Paulo, joga uma carta decisiva para recuperar o brilho de um país em pleno desenvolvimento que merece um papel no plano internacional. O que já sabemos de sua preparação? Tudo começou mal há menos de um ano. Com ninguém disposto para assumir a presidência da Bienal, eu mesmo, apoiado por um bom número de artistas brasileiros, apresento a minha candidatura. É preciso ver nesta iniciativa mais do que uma ironia, mas propostas sérias em resposta a uma necessidade de democratização da arte. Uma democratização da arte e de suas estruturas, tradicionais e da elite, em um país onde o Presidente vem de classes populares. Estruturas esclerosadas, gangrenadas, falta de ética, a especulação e manipulações de todos os tipos. Situação insustentável a longo termo com um cortejo de falsos valores gerados por um mercado internacional cujas figuras emblemáticas têm o nome de Jeff Koons et Damien Hirst
O Brasil tem coisa melhor para fazer com sua expressão política ancorada nas camadas populares profundas do que seguir literalmente de um modo servil as ordens do mercado, ditados por Wall Street, via os grandes colecionadores.

Com o início do 3o milênio e a refundação de valores que se inicia, o Brasil, mais do que qualquer outro país, é chamado a ter um papel motriz na mudança civilizatória que se apresenta, e cujos sinais se multiplicam com a crise econômica e moral que se espalha no mundo.
Depois do futebol, quais as chances da 29a Bienal para esta renovação?
A Bienal 3000 propões uma solução adaptada à nossa época

http://www.biennale3000saopaulo.org

Mas a crítica mais forte que podemos fazer a esta 29a Bienal é de, deliberadamente, ficar paralisada em formas expositivas e estruturas organizacionais ultrapassadas, se julgamos pelas transformações drásticas pelas quais passam o mundo.
Basta olhar para os lados para constatar o impacto das técnicas e das ciências na vida de cada um de nós, e quanto, mesmo no cotidiano, nossa vida mudou radicalmente pela generalização e pela miniatuzização dos meios de comunicação. É o que Vilem Flusser, um visionário, junto com alguns artistas dos anos 70, já havia ressaltado e analisado.
Eu aposto que os objetos expostos nesta bienal serão representativos apenas de um passado, tanto no dispositivo utilizado, quanto na função. E que eles não traduzirão as formas de vida que se tornaram as nossas e cujas utilizações diversas da Internet são apenas um exemplo entre tantos outros. E isto se alastra para o social, o médico, o trabalho, às férias, a economia, à gestão do conhecimento e vários outros campos.
Sempre de modo antecipatório, já em 1975 eu havia proposto para a 13a Bienal de Sao Paulo a Bienal do ano 2000...
Em 2006, para a 27a Bienal eu propus a Lisette Lagnado, sem sucesso, uma Bienal alternativa a ser realizada na Internet, chamada Bienal 3000.
Em 2008, para a 28a Bienal eu propus a Ivo Mesquita a Bienal do ano 3000. Uma bienal online de fato representativa de nosso tempo. Ciente de que a perseverança só se paga no longo prazo, este ano eu proponho uma Bienal 3000 repaginada e operacional que já recebeu trabalhos de mais de 3000 participantes...

http://www.biennale3000saopaulo.org

Uma Bienal democrática sem curador, onde a participação livre e as redes sociais respondem às aspirações, à orientação e às tendëncias mais atuais. Uma Bienal sem o peso político-administrativo das grandes máquinas institucionais e econômicas. Uma bienal sem orçamento definido, autogerida pelos próprios artistas. Uma bienal que requer a ética de uma nova socioedade. Sociedade na qual a arte tem um papel de regulação crítica em relação ao arbitrário dos poderes de todos os tipos. Uma bienal, enfim, que pratica a transparência, em contraponto aos compromissos e especulações do mercado.
Torne-se, individualmente, um propagandista de seu próprio sucesso onde a comunicação viral demonstrará que os artistas e os homens e mulheres de boa vontade são capazes de revirar os poderes abusivos para instaurar uma sociedade melhor.

EXPOSICAO FRED FOREST ACADEMIA DE BELAS ARTES BEIROUT_LIBAN

EXPOSIÇÃO FRED FOREST - ACADEMIA DE BELAS-ARTES, BEIRUTE-LÍBANO

A partir de quarta-feira 3 de Março de 2010, Fred Forest apresenta um novo trabalho a partir de seu Território Experimental no Second Life. Uma iniciativa que propõe, por meio de uma simulacão e através do diálogo que ela instaura, uma divisão equitável de um território a partir de critérios geográficos, políticos, culturais, criando assim comunidades que se disputam entre si e que tentam se apropriar do território da outra.
EXHIBITION / ACTION / PRESENTATION FRED FOREST LEBANESE ACADEMY OF FINE ARTS, BEIRUT LEBANON


EXHIBITION EXPERIMENTAL CENTER OF THE TERRITORY AT BEIRUT

EXHIBITION FRED FOREST IN LEBANON
LEBANESE ACADEMY OF FINE ARTS – UNIVERSITY OF BALAMAND, BEIRUT

Opening Wednesday March 3, 2010, 6 pm

Confirming his international career after Sarajevo, Toronto, 0ttawa, Naples, Sao Paulo, Brasilia, Porto Alegre, Philadelphia and New York... Fred Forest, exhibits in Lebanon, at the LEBANESE ACADEMY OFFINE ARTS, BEIRUT. He pursues his artistic and critic practice in the continuity with the same line and the same consistency.

HIS EXHIBBITION/ACTION IN BEIRUT:
For an equitable sharing of a same and unique territory, founded on a national identity, one and indivisible, the experimental Center of the Territory functions as a model of simulation on Second Life, for the dialogue of the different communities that compose it.

For this new exhibition, he confides us: "The notion of Territory interests me long time ago and I made from it the active principle of my participative track. It perfectly applies to a country as Lebanon. This concept predents a same portion of earth, shared by men and women of good will, who converse under the seal of the common entity that legitimizes them. Certainly this positioning, here and now, can be considered by some as a pure utopia, but isn't the role of the artists to call the utopia, and tirelessly keeping on doing so, so maybe this utopia can become one day a reality? It's at least the teaching that bequeathed us in inheritance Roland Barthes, in his seminary held at the College of France in 1976, title : "How to live together?"

FOR THOSE WHO WOULD LIKE TO JOIN US ON SECOND LIFE MARCH 3 AT 06:30 pm:
http://slurl.com/secondlife/Isles%20Marquises/54/66/24


With the support of the capucine.net association
ALBA - Hayek Roundabout- Sin el Fil - Beirut - Lebanon



target=_new>http://slurl.com/secondlife/Isles%20Marquises/54/66/24

FRED FOREST -WHITE BOX NEW YORK SECOND LIFE - CENTTRE EXPERIMENTAL

WHITE BOX GALLERY NEW YORK NY.

329 BROOM ST NEW YORK NY.
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OBRA DE FRED FOREST NO SECOND LIFE
"Responda à crise com um pouco mais de ética"
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Preface : VINTON CERF
New Chief Internet Evangelist
Père fondateur de l'Internet - Inventeur du protocole TCP-IP

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A crise atual não é uma crise econômica, mas uma crise ética, uma crise de valores e uma crise de sentido. Todo o resto depende disto.

O Centre expérimental du Territoire é um instrumento coletivo de reflexão política e social, que tem por objetivo se questionar sobre a crise mundial que se abate por todo o planeta. Uma crise cuja origem pode ser identificada claramente nas disfunções dos mecanismo especulativos que representam de maneira emblemática Wall Street, cujos tentáculos envolveram o mundo todo.

Segundo Fred Forest, os artistas, em benefício da crise, e assim ligados às tecnologias da informações, devem constituir centros simbólicos de poder, com o intuito de contrabalançar os outros poderes da sociedade. Os artista na sociedade da internet devem se tornar atores do sentido. O instrumento original proposto por Fred Forest é uma plataforma de trocas cuja finalidade é recolher e ativar opiniões para um mundo melhor, mais solidário, menos dependente dos lucros, que se tornaram a regra absoluta.

target=_new>http://slurl.com/secondlife/Conway%203/71/40/27


Se os Estados Unidos, com a eleição de seu novo presidente, afirmou claramente sua vontade de mudança, seria desejável na na arte se manifestasse um mesmo desejo de reconversão e regeneração. Que se manifeste igualmente esta determinação de mudança em relação aos circuitos e modelos que são obsoletos no século 21. Valores manipulados e impostos pelos ditames do mercado que se beneficia da complacência das instituições. É porque precisamos de sentido que os artista devem reagir a isto.

www.fredforest.org
www.webnetmuseum.org

Prodizudo by : ferdinand(corte) ans
Juan Puntes

www.ferdinandcorte.com
www.whiteboxy.org

EXPOSITION FRED FOREST, WHITE BOX, NEW YORK SOHO, NY 10002


16 JUIN / 20 JUIN
VERNISSAGE 18 JUIN 6 am/21 pm
Tel 212-714-2347

INVITATION - INVITATION - INVITATION - INVITATION - INVITATION - INVITATION -

0 ANO DA FRANCA NO BRASIL DE FRED FOREST 2009

ABRIL A NOVEMBRO DE 2009

O Ano da França no Brasil será também o Ano de Fred Forest no Brasil!

Sem exagero algum, poderíamos dizer que este evento, chamado "O Ano da França no Brasil", é na verdade o "Ano de Fred Forest no Brasil".

O artista tem a intenção de organizar, com perfeita autonomia, várias exposições e apresentações em diferentes localizações geográficas e urbanas que vão desde os lugares mais inesperados, nos quais geralmente não encontramos cultura e exposições.
Aqui, no momento, ele não revela estes locais - alguns muito clássicos - para melhor entreter o suspense e, em seguida, jogar com o efeito surpresa.

Pode-se dizer que um laço muito estreito liga o artista francês ao Brasil, onde, depois de 1973, ele realizou dezenas de exposições e intervenções.

Houve um início muito intenso com a Bienal de São Paulo, que lhe valeu o prêmio de comunicação, assim como a detenção pela polícia política, por suas repetidas provocações ao regime militar local.
target=_new>http://www.webnetmuseum.org/html/pt/expositions/fredforest-retrospective/actions/08_en.htm#text


Ele retorna então muito regularmente ao Brasil, com o convite do MAC USP, do Itaú Cultural, da Fundação Memorial da América Latina, de galerias privadas e de diferentes universidades e museus, como o Paço das Artes, que lhe consagrou uma grande retrospectiva em 2006.

O próprio Fred Forest diz que entre o Brasil e ele sempre existiu uma grande história de amor. Uma história que contribuiu para marcar sua carreira artística mais do que qualquer outro país, e Deus sabe o quanto ele viajou e expôs através do mundo!

Fred Forest é certamente o artista francês que produz arte contemporânea mais conhecido no Brasil.

Ele deve a sua notoriedade ao fato de que, muito freqüentemente, em parcerias, realizou intervenções com jornais da imprensa escrita, rádios e televisões.

É preciso confessar que os serviços culturais oficiais franceses, que ele geralmente estigmatiza por sua desmotivação e ineficácia legendárias, teriam preferido vê-lo afastado deste evento. Porém, a energia de Forest teve razão em todas as resistências contra as armadilhas que tentaram, em vão, desviá-lo da sua trajetória que passava obrigatoriamente pelo Ano da França ao Brasil. Teria sido, de fato, absurdo e aberrante que ele não fosse presente quando se trata precisamente de ilustrar o laço simbólico que une estes dois países através da cultura.

PROGRAMME

O Ano da França no Brasil será também o Ano de Fred Forest no Brasil!

* Segunda-Feira, 27 de Abril de 2009, coletiva de imprensa no Itaú Cultural em São Paulo

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* Terça-Feira, 28 de Abril de 2009, 15:00 hs, vernissage e abertura de sua exposição no MAC (Museu de Arte Contemporânea do Ibirapuera) em São Paulo, com a exposição "Le Centre experimental du territoire et laboratoire social" no Second Life (de 28 de Abril a 31 de Maio de 2009)
(Scenographie MAC Gabriel Borba Filho)

target=_new>http://slurl.com/secondlife/Conway%203/71/40/27


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* Quarta-Feira, 29 de Abril de 2009,

CURATOR : VIVIAN PUXIAN

vernissage e abertura de sua exposição na galeria do Instituto de Artes da UNESP, Universidade Estadual Paulista Julio de Mesquita Filho, Campus de São Paulo, com o Professor MILTON SOGABE - "La Biennale3000"
com GUSTAVE BERNIER e RENE PEROL
(de 29 de Abril a 16 de Maio de 2009) em São Paulo
10:00 vernissage e abertura de sua

target=_new>http://www.biennale3000saopaulo.org


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* Quinta-Feira, 30 de Abril de 2009, vernissage e abertura de sua instalação "Os estados de alma do Ego Cyberstar " no Second Life, na Escola de Comunicação e Artes da Universidade de São Paulo ECA-USP, com Professor GILBERTTO PRADO, coordenador da Equipe de Pesquisas Poéticas Digitais

target=_new>http://www.biennalesaopaulo.org


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* Terça-Feira, 5 de Maio de 2009, vernissage e abertura de sua instalação "As digressões do Ego Cyberstar" no Second Life, na Universidade Federal do Rio Grande do Sul, Porto Alegre, com a Professora SANDRA REY e o comediante LUIS ANTONIO FRANKEN
(Traduction Ego Cyberstar Sandra Rey)

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* Quinta-Feira, 7 de Maio de 2009, vernissage e abertura de sua instalação "As lamentações e as esperanças de Ego Cybertar", na Universidade de Brasília, com a Professora SUZETE VENTURELLI

http://www.webnetmuseum.org
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tradução : Vivian Puxian
__________________________


:

COLOQUIO ARTMEDIA X PARIS FRED FOREST/MARIO COSTA

ARTMEDIA X COLOQUIO INTERNATIONAL

OUVERTURE DES TRAVAUX
EDGAR MORIN

ESTHETIQUE ET ETHIQUE

O colóquio Artmedia X, organizado por FRED FOREST artisto, Doutor pela Sorbonne, e por MARIO COSTA, professor de estética na Universidade de Salerna (Itália), que será realizado na BNF(Grande biblioteca da França - François Mitterrand) e no INHA (Instituto de Estudos Superiores em Artes), nos dias 12 e 13 de dezembro de 2008, tem como objetivo abrir um debate crítico sobre o sistema da arte contemporânea. Sistema que, sob uma especulação desenfreada, traduz a desordem de uma sociedade que perdeu seus valores e o sentido de necessidades simbólicas que são essenciais nos homens. É urgente reagir contra uma arte que tem por únicos fundamentos o lucro e a economia. O colóquio será aberto por Edgar Morin.
Para mais informações, favor acessar as versões em francês e inglês do site.

PROGRAMME

Avec les participations de :


Concept et co-organisation : Mario Costa/ Fred Forest

Vendredi 12 décembre 2008, auditorium BNF, quai Mauriac 75013 Paris

h. 9,45 – Ouverture du Colloque

- Bruno Racine – Directeur BNF

- Mariapaola Fimiani – Vice-recteur Université de Salerne

- Jean-Michel Rodes –Directeur de l’INATHEQUE

- Annick Bureaud – Critique d’art, ArtPress, Directrice Léonardo/Olats

- Mario Costa – Professeur d’Esthétique université de Salerne

- Fred Forest – Artiste, Professeur émérite de l’université de Nice

h. 10,00

- Edgar Morin - Introduction aux travaux
France, CNRS, philosophe et sociologue

h. 10,30

Chairwoman : Anne Cauquelin

Paolo D’Angelo : Sur quelques phénomènes d’esthétisation dans l’art contemporain
Italie, Prof. d'Esthétique à l'Université de Rome 3

Marivonne Saison : Les défis du temps réel
France, Prof. d'Esthétique à l'Université de Paris X Nanterre, Directrice de la Société Française d'Esthétique

Edmond Couchot : Nouvelles temporalités dans les arts et la communication

France, Prof. émérite à l'Université de Paris VIII, Directeur de la formation en Arts et technologies de l'image

h. 11,30 – Débat

h. 11,45 – Pause-café

h. 12,00

Chairman : Mario Costa

-François Soulages : Esthétique & existence
France, Prof. d'Esthétique et Sciences de l'Art, Université de Paris 8

-Serge Tisseron : L’œuvre, le désir et le traumatisme
France, Université de Paris VII - Psychiatre et psychanalyste
- Mariapaola Fimiani : Le sommeil événementiel
Italie, Prof. de Philosophie Morale et vice-recteur de l'Université de Salerne

h. 13,00 – Débat

h. 15,30
Chairman : François Soulages

-Dominique Chateau : L’esthétisation de l’art et ses conséquences éthiques
France, Prof. d'Esthétique et de Philosophie de l'art à l'Université de Paris 1 - Sorbonne

-Sophie Lavaud : Esthétique et éthique : la responsabilité de l’artiste aujourd’hui
France, Artiste et théoricienne des arts interactifs, enseignante-chercheure à l'Université Jean Monnet de Saint-Etienne

-Anne Cauquelin : Questions de morale pour les mondes possibles
France, Prof. émérite de Philosophie à l'Université de Picardie, Directrice de la Nouvelle Revue d'Esthétique


h. 16,30 – Débat

h. 16,45 – Pause-café

h. 17,00
Chairman : Edmond Couchot

-Pierre-Damien Huyghe : La morale des objets
France, Prof. d'Esthétique à l'Université de Paris I - Sorbonne)

-Louis-José Lestocart : Théorie de la prédiction. L’intelligible connaissance esthétique
France, Critique d'art et de cinéma à Art Press, NRF

-Fred Forest : Entre esthétique et éthique, le Beau et le Vrai, la voie étroite de l’utopie réaliste
France, Artiste et théoricien de l'art sociologique et de l'esthétique de la communication, Prof. émérite à l'Université de Nice

h. 18,00 - Débat




SAMEDI 13 DECEMBRE 2008, INHA, auditorium, 2 rue Vivienne 75002 Paris

h. 9,00
Chairman : Mario Costa

-Michael Leruth : Quelques réflexions sur l’art, l’utopie et l’interface
Etats-Unis, Professeur associé de français, The College of William and Mary, Virginie, USA

Maurizio Ferraris : Pleurer et rire " vraiment "
Italie, Prof. de Philosophie théorétique à l'Université de Turin

-José Jimenez : L’image esthétique
Espagne, Prof. d'Esthétique et Théorie des Arts à l'Université Autonome de Madrid, Directeur de l'Institut Cervantes de Paris, Directeur Général des Beaux Arts au Ministère de la Culture espagnol
L'image esthétique

-Fabrizio Desideri : L’image dit-elle encore soi-même ? Pour en finir avec la philosophie de l’art
Italie, Prof. d'Esthétique à l'Université de Firenze

h. 10,15 - Débat

h. 10,30
Chairman : Pierre Moëglin

-Robert C Morgan : Vidéo néo-métaphysique
Etats-Unis, Critique d'art à NYArt, Art Press

-Jorge Latorre Izquierdo: Hight Tech au Musée : tradition et innovation dans les œuvres de Bill Viola
Espagne, Prof. de Culture de l'image à l'Université de Navarre

-Maurizio Bolognini : De l’interaction à la démocratie. Ver un art génératif post-digital
Italie, Artiste et théoricien de l'art génératif


h. 11,30 – Débat

h. 11, 45 – Pause-café

h. 12,00
Chairman : Paolo D’Angelo

-Jean-Pierre Faye: Transformations et éthique des langages
Co-fondateur du Collège International de Philosophie, Directeur de l'Université Européenne de la Recherche

-Vincenzo Cuomo : Au-delà de la " maison de l’être " : l’expérience esthétique du non-symbolique
Italie, Université de Salerno

-Carole Talon-Hugon : Transgression et extraterritorialité
France, Prof. d'Esthétique et Théorie des arts à l'Université de Nice - Directrice de la Société Azuréenne de Philosophie

h. 13,00 – Débat

h. 15,30
Chairman : Maurizio Ferraris

-Isabelle Rieusset-Lemarié : Fonder un monde commun sur une éthique de la liberté : la voie privilégiée de l’esthétique
France, Maître de Conférences en Sciences de l’information et de la Communication, Université Paris 10

-Rudolf zur Lippe : L’éthique fondée sur la perception consciente, c'est-à-dire l’esthétique
Allemagne, Prof. de Philosophie à l'Université de Francfort

-Jean-Michel Rabaté : Les couleurs du mensonge ; vers une éthique
Etats-Unis, Prof. d'Anglais et de Littératures Comparées à l'Université de la Pennsylvanie

-Thierry De Duve : L’esthétique comme quasi éthique
Prof. de Théorie de l'Art moderne et contemporain à l'Université de Lille


h. 17,00 – Débat

h. 17,30 - Clôture du Colloque

VITUAL CORRIDA CREATION FRED FOREST SECOND LIFE

VIRTUAL CORRIDA SECOND LIFE FRED FOREST

>Performance no Second Life

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target=_new>http://www.fredforest.org/book/php/fr/news_fr/show_newsfr.php


>De certa forma, o sistema da arte é, também, como uma arena onde os
>artistas arriscam suas vidas. Arenas em que papéis e destinos são
>fixados antecipadamente por umas quinze pessoas que, como na bolsa
>de valores, regulam o mercado.
>
>Os críticos de arte estão presentes simplesmente para validar
>escolhas feitas em função das ordens de seus comandantes: grandes
>instituições, magnatas das mídias, executivos da publicidade... Na
>arena da Tourada Artística proposta por Fred
Forest, os papéis são
>inversos. O touro se torna toureiro e temporariamente se torna o
>mestre do jogo. No Second Life, todos podem lutar contra o
>touro-toureiro. Ao levar a primeira chifrada, ele é enviado ao
>sétimo céu, distante da arena de Nimes, indo para qualquer lugar na
>paisagem. Se ele quiser ter uma outra chance, ele deve então,
>através de um itinerário repleto com milhares de informações,
>encontrar o seu caminho e as arenas para afrontar de novo o
>touro-toureador. Para isso, com as costas voltadas para o mar, ele
>avançará sempre em frente, até o momento em que, como uma miragem,
>ele perceberá as arenas. É fácil imaginar o que Goya, Daumier e
>Dubuffet, com suas veias iconoclastas, poderiam ter feito no Second
>Life.
>

RACCOGLIETE I VOSTRI RIFIUTI SU SECOND LIFE

FRED FOREST RACCOGLIETE I VOSTRI RIFIUTI SU SECOND LIFE

CREATION FRED FOREST

Galleria "Entropoya/Art Napoli Italy
22 mai/ 22 juin 2008
Via San Pasquale 48-53
Tel : 00 39 335 80 92 771
081/40 94 56
gnapolitano@creasud.it





Ho creato di recente un Centre expérimental et laboratoire social virtuale sulla Promenade des Anglais a Nizza con lo scopo di far fronte ai molteplici problemi che gravano sulla nostra società. La prima questione di cui mi occuperò come priorità assoluta, prima di altre come violenza, terrorismo, povertà, speculazione, ecc., sarà quella dello sviluppo durevole e della salvaguardia delle risorse naturali.
Con l'aiuto e la collaborazione del polo tecnologico di Nizza Sophia Antipolis, dei suoi ingegneri e imprese innovatrici, ho concepito un "disintegratore" di rifiuti rivoluzionario, che consuma tra l'altro pochissima energia. Si tratta di una macchina strana e sofisticata, la cui forza lavoro si basa su principi informatici e spirituali strettamente connessi. Questa macchina ha una proprietà stupefacente, di smaterializzare qualsiasi oggetto venga introdotto all'interno del suo volume trasparente. E' per questo che consigliamo vivamente tutti i visitatori di tenersi ad una certa distanza rispettosa dell'apparecchio, onde evitare qualsiasi incidente di disintegrazione che risulterebbe irreversibile. Per lo stesso motivo i cani e i bambini devono essere tenuti al guinzaglio. L'artista declina ogni responsabilità in caso di sparizione. I segreti dei brevetti di quest'invenzione spettacolare sono protetti gelosamente. Sono l'oggetto infatti di una lotta senza pietà tra diversi servizi di spionaggio industriale europei. Basta con gli inceneritori a combustione termica del passato, che verranno riciclati da McDonald (che li riacquisterà a basso prezzo) per una nuova cucina più leggera destinata a rimpiazzare a breve termine i Bigmag. Il cosiddetto "disintegratore" di rifiuti ha suscitato l'immediato interesse del Comune di Napoli. Ne è seguito un accordo con la città di Nizza nel quadro dei paesi dell'unione mediterranea, caro al Presidente della Repubblica Francese, per disporre un servizio navetta quotidiano di carichi di rifiuti da Napoli verso Nizza, con transito obbligatorio per Tunisi. Le forze marittime dell'OTAN saranno incaricate di scortare la preziosa merce. Lo scarico di quest'ultima si effettuerà in tutta trasparenza, di giorno come di notte, sul molo vicino all'Hotel Negresco e al WebPalace. Ognuno potrà d'ora in poi recarsi, da tutto il mondo, sul luogo col suo sacco di spazzatura domestica, senza passare alcuno smistamento precedente, per gettarlo personalmente in pasto ad una macchina particolarmente ghiotta e vorace. Tutta l'operazione rientra in una più vasta operazione di igiene pubblica e mentale, in cui l'utopia degli artisti pretende risolvere problemi di fronte ai quali, sia politici che scienziati, hanno dimostrato la loro incapacità nel fronteggiare l'inquinamento sempre crescente sul nostro pianeta.
Istruzioni per l'uso: preparate il vostro sacco di spazzatura individuale e portabile. Se dovete prendere la strada o il treno, al passaggio della frontiera, a Ventimiglia, aprite appena il sacco di plastica lasciandone fuoruscire un minimo di esalazioni pestilenziali sufficienti perché la polizia di frontiera constati che non si tratta affatto di contraffazione.
Confezionare il proprio avatar iscrivendosi su Second Life e trasferendosi quindi con lo stesso su
target=_new>http://slurl.com/secondlife/Conway%203/72/180/27



Oppure, se preferite, portate voi stessi il vostro sacco di spazzatura al servizio di navetta quotidiana fra Napoli e Nizza nella zona del porto, che si incaricherà di instradarlo nel più breve termine verso la Promenade des Anglais.


- Curator
Enrico Pedrini
- Assistante de réalisation
Wafa Bourkhis
- Maîtrise d'œuvre
Association Capucine.net

target=_new>http://www.webnetmusem.org

27° BIENAL SAO PAULO

A cultura segue ordens do capital como constatamos na foto com logomarcas afixadas tal qual a Formula 1 ou a Copa do Mundo de Futebol. Pobre
cultura

27° BIENAL POPULAR COM FORCA E INDEPENDENCIA EM TODA LIBERDADE DE EXPRESSAO

COMME LE PROUVENT TOUS LES LOGOS DERRIERE SON DOS

target=_new>http://www.biennale3000saopaulo.org


A Bienal 3000 de São Paulo é um acontecimento que ficará na história da arte como um novo modelo para sua produção, difusão e relação com o público na sociedade da informação e comunicação, na qual vivemos.

A Bienal 3000 é uma Bienal planetária, digital, participativa e prospectiva que ocorre no espaço físico do MAC (Museu de arte Contemporânea de São Paulo) e no espaço virtual da Internet.

Diversos críticos de arte reunidos em Paris para seu Congresso Internacional em outubro de 2006 já a reconheceram sua importância. Além da 27ª Bienal que foi seu ponto de ancoragem, a Bienal 3000 de São Paulo questiona criticamente os circuitos da arte contemporânea e seu funcionamento. Em 1º de novembro de 2006 a ação Bienal 3000, concebida e realizada por Fred Forest, simultânea à 27ª Bienal oficial de São Paulo, já pode ser considerada um sucesso especial. Deve-se notar que este projeto continuará a se desenvolver até dia 15 de dezembro de 2006. Por conseguinte, pela comunicação viral induzida pelo artista na Internet através de suas próprias redes, este sucesso ainda não pôde atingir dimensão ainda mais importante. Até agora houve mais de 1.000 participações, boa parte delas do Brasil e América Latina, mas também da França, Portugal, Canadá, Bélgica, Itália, Eslovênia, Áustria, Polônia, etc. São pinturas, desenhos, fotos, vídeos, performances, esculturas, poemas e uma reflexão teórica sobre arte que indicam uma ampla diversidade de disciplinas representadas.

Tal participação já seria em si expressiva, mas o que chama a atenção é, de modo global, a própria “qualidade” das obras propostas pelos internautas! A experiência de Fred Forest é uma experiência enriquecedora na medida em que ela nos permite questionar, dentro da arte contemporânea, a pertinência dos julgamentos dos críticos (os curadores das bienais e outras manifestações) de quem decide, recusa ou ignora artistas que se candidatam a apresentar suas obras ao público.

O Congresso Internacional da AICA (Associação Internacional dos Críticos de Arte) que acabou há pouco em Paris, demonstra uma crise da profissão perante a dificuldade de seleção, que só cresce. O congresso percebe um deslocamento cada vez maior da estética para a sociologia e a antropologia. O problema que Forest quer marcar, ele que é doutor pela Sorbonne e tem assim respaldo para se manifestar sobre esta situação, do mesmo modo que um curador de qualquer exposição oficial, é a onipresença do mercado, seja em São Paulo, na Documenta de Kassel, na Bienal de Veneza ou na FIAC em Paris – o que contribui a prerrogativas e arbitrariedades que influenciam direta ou indiretamente a seleção de obras. Assim, seria a economia quem, em última instância, determinaria e legitimaria quais os valores simbólicos da sociedade contemporânea? Sabendo-nos breves, poderíamos dizer que não é mais Kant quem decide, ou Artur Danto, mas Bill Gates hoje e, amanhã, o Google!
Se a 27ª Bienal recorres a Roland Barthes para legitimar seu conceito fundador, se fosse para lançar mão da reflexão universitária francesa, ela poderia fazer o oposto e recorrer a outro filósofo, Jean Baudrillard, que teve a oportunidade de denunciar em alto e bom tom a arte contemporânea como uma impostura.

O segundo ponto que gostaríamos de notar é como a ação de Forest ressalta o fracasso desta 27ª Bienal que pretendia, sem prudência, e apoiada por propagandas e colóquios preparatórios, ser uma bienal popular, periférica, dispersa, etc. O resultado negativo é edificante e não serão dois ou três grupos político-sindicais, utilizados como álibis, que mudarão algo. Lisette Lagnado é muito mais inteligente que isso para saber que a questão da arte não é uma questão de bons sentimentos, mas de educação, do meio social e da transformação das superestruturas, como diria Marx. Neste caso não se trata de um filósofo do Colégio da França quem poderia mudar alguma coisa, de qualquer modo, um político à la Lula, se não o derrubam de seu pedestal (?).
A ação de Fred Forest pretende por sua demonstração crítica apontar para, de um lado, a arbitrariedade de escolha das bienais oficiais e, de outro, mostrar que as redes da Internet e seus espaços virtuais constituem-se como uma alternativa digital que pode sinalizar uma mudança cultural inexorável. Na ação de Forest, artistas reconhecidos e importantes também quiseram se manifestar. Foram os casos de Eduardo Kac, Clemente Padin, Maurice Benayoun, Miguel Chevalier, Lucas Bambozzi, Gilbertto Prado, Roland Baladi, Roland Sabatier, Jean-Noel Laszlo e dezenas de outros. Mas na Bienal 3000 também há numerosos outros artistas que jamais foram convidados para uma Bienal, cuja produção não deixa nada a desejar ao que vemos nas galerias de Nova York, Londres, Milão ou Berlim, ou mesmo em alguns museus de arte contemporânea que frequentemente se contentam em seguir o movimento e se enquadrar no mercado. Um mercado que, sob a forma do marketing cultural, faz e desfaz valores e reputações como em manipulações da bolsa.
Forest nos mostra, com a Bienal 3000, que vias alternativas se abrem a esses artistas agora, que capazes de por conta própria utilizar as tecnologias de comunicação.
Em vão, Fred Forest pediu cortesmente a Lisette Lagnado a possibilidade de organizar com ela um debate público sobre essas questões, mas a única resposta da curadora da 27ª Bienal, até agora, é uma recusa silenciosa, prudente e envergonhada.
Enfim, para finalizar, é importante dizer que Fred Forest fez uma instalação no MAC com um dispositivo pelo qual sua Bienal do Ano 3000, de maneira minimalista, permite por um minúsculo orifício, que se descubra a imensidão do mundo. A imensidão de um mundo infinito, onde imagens, sons, palavras, vídeos, propagam-se por um espaço virtual apropriado pela arte atual. Se a 27ª Bienal oficial de São Paulo não apresenta sequer uma instalação ligada à Internet, Fred Forest mostra que ele, sim, conseguiu realizar uma Bienal popular, periférica e dissolvida que a Bienal oficial tanto quis realizar. Será preciso esperar que este ensinamento seja apropriado pela Bienal oficial do ano 3000...

Etienne Boulba
Crítico independente de arte

UMA BIENAL POPULAR COM CHAMPAGNE PARA AS MASSAS DESFAVORECIDAS COMO PODEMOS FOTO

UMA BIENAL POPULAR COM CHAMPAGNE PARA AS MASSAS DESFAVORECIDAS

27° BIENAL POPULAR SAO PAULO 2006 COMMO VIVER JUNTO UN VERRE DE CHAMPAGNE A LA MAIN (vernissage)

VERNISSAGE
http://www.biennale3000saopaulo.org

http://www.itaucultural.org.br/index.cfm?cd_pagina=2132&cd_materia=2053

BIENAL DO ANO 3000 MAC SAO PAULO

BIENAL DO ANO 3000 SAO PAULO
BIENAL SOB A INTERNET, LOCAL MAC-USP.
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DE 7 DE OUTUBRO A 15 DE DEZEMBRO 2006, FRED FOREST CONVIDA OS NUMEROSOS ARTISTAS A PARTICIPAR DA BIENAL DO ANO 3000.
UMA BIENAL NA QUAL OS ARTISTAS E OS CIDADÃOS TOMAM O PODER E EXERCEM SEU DIREITO Á PALAVRA E Á IMAGEM EM TODA LIBERDADE.
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SUA PRESENÇA, TANTO ATRAVÉS DE UMA IMAGEM OU DE UM TEXTO, OU DOS DOIS AO MESMO TEMPO, SERÁ ALTAMENTE SIGNIFICATIVA.
FAÇA CIRCULAR ATIVIMENTE ESTA PROPOSTA EM TODAS SUAS REDES PESSOAIS.
O SUCESSO DESSA INICIATIVA SERÁ TAMBÉM SEU PRÓPRIO SUCESSO E DEMONSTRARÁ A CAPACIDADE DOS ARTISTAS DE SE AUTO-ORGANIZAR, COM A AJUDA DAS FERRAMENTAS DE COMUNICAÇÃO NUMÉRICA E DA INTERNET, DIANTE DOS DIFERENTES PODERES CULTURAIS E DO MERCADO PRESENTE
AS CONTRIBUIÇÕES SERÃO DIFUNDIDAS NO MAC, NO PARQUE IBIRAPUERA E REATUALIZADAS GRADATIVAMENTE.

OBRIGADO PELA PARTICIPAÇÃO DE TODOS

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FRED FOREST
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BIENAL DO ANO 3000 SAO PAULO 2006

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UMA BIENAL NA QUAL OS ARTISTAS E OS CIDADÃOS TOMAM O PODER E EXERCEM SEU DIREITO Á PALAVRA E Á IMAGEM, EM TODA LIBERDADE DE EXPRESSÃO..

O artista francês Fred Forest , Doutor de Estado da Sorbonne que organizara, em 1975, em pleno regime militar e com o apoio de Walter Zanini, então diretor do MAC, uma Bienal de contestação, reincide em 2006! Trinta anos mais tarde, organiza uma Bienal do ano 3000, com a participação de artistas brasileios e estrangeiros. (procurar no site da Bienaldo ano 3000 (http://www.biennale3000saopaulo.org)

Em 1973, artistas reresentativos, como Amélia Toledo, Anésia Pacheco Chaves, Armando Canuto, Cesar Loureiro, Conrado Silva, Euclides Sandoval, Fábio Magalhães, Gilberto Moirimitto, Luis Augusto de Arruda, Luis Carlos Homem da Costa, Regina Célia Canel, Sergio Fiuza participaram da Bienal.

Neste ano Fred Forest organiza em São Paulo a Bienal de ano 3000, que será realizada de 7 de outubro a 13 de dezembro de 2006. Uma Bienal que se diferencia da Bienal oficial na medida em que se trata de uma bienal numérica, planetária, participativa, uma bienal sem seleção e, por conseqüência, verdadeiramente democrática!

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Fred Forest sempre teve um papel importante como pioneiro.Em 1973, já propunha uma arte da rua, uma arte da participação, uma arte da contestação, um arte social. Nos dias de hoje essas formas de arte constituem uma parte não negligenciável das práticas artísticas atuais, com um atraso de mais de trinta anos, levando-se em conta a lentidão dos aparelhos culturais em assimilar a novidade. Essa Bienal do ano 3000 se realiza no Mac USP, Parque Ibirapuera, nos mesmos espaços que a do ano 2000.Ela se afirma com força e independência, como uma manifestação prospectiva que põe em evidência que a arte não poderia permanecer agarrada a conceitos do passado, em um momento em que, no nosso cotidiano, a internet procede à abolição do tempo e do espaço e que o reino da estética da comunicação invade todas as dimensões do simbólico, do estético e do social. Fazer arte é fazer, antes de mais nada, sentido, e sentido não se faz com conceitos já hoje obsoletos, quando o mundo presente se transforma em tempo real sob nossos próprios olhos.

RETROSPECTIVE FRED FOREST PACO DAS ARTES

EXPOSIÇÃO RETROSPECTIVA FRED FOREST
PAÇO DAS ARTES.

SÃO PAULO DE 22 DE MAIO A 16 DE JULHO DE 2006.

CURATOR: PRISCILA ARANTES

UM ACONTECIMENTO QUE SAI DO QUADRO DAS APRESENTAÇÕES HABITUAIS DA ARTE CONTEMPORNEA.
Victoria Daniela Bousso, Diretora do PAÇO DAS ARTES , apresenta
com o apoio do Consulado Geral da França, l’AFAA, l’INA,
Fundação Cartier, e Epson América Latina, o artista francês Fred Forest, pioneiro do Vídeo Arte e da Net Arte.
Este artista singular deu origem a dois movimentos artísticos importantes, o da Arte Sociológica e o da Estética da Comunicação é uma figura carismática e em evidência da cena artística a mais de trinta anos.
Fora do sistema da arte ele desenvolveu com uma exemplar constância uma pratica sócio-critica importantíssima.
Ele utiliza as novas tecnologias de comunicação de maneira inventiva numa relação de participação de dialógico com o público.
A sua retrospectiva no PAÇO DAS ARTES vai apresentar pela primeira vez a sua ação histórica no âmbito da XIIe Bienal da São Paulo, que lhe valeu o "Grande premio da comunicação"... e a sua detenção pela polícia do regime militar da época.
Fred Forest participou na Documenta 7 de Kassel, ele representou a França na 76e Bienal de Veneza e o conjunto da sua obra integrou o património nacional Francês em Julho de 2OO4.
Ele é Doutor da Universidade Sorbonne e professor emérito da Universidade de Nice.

PARCEIROS :

- FUNDAÇÃO CARTIER
- CONSULADO GERAL DA FRANÇA EM SÃO PAULO
- INA (Instituto Nacional do Audiovisual)
- EPSON BRASIL
- AFAA

RETROSPECTIVA FRED FOREST PACO DAS ARTES

RETROSPECTIVA FRED FOREST PACO DAS ARTES

RETROSPECTIVA FRED FOREST PACO DAS ARTES

FOLHA DE SAO PAULO http://www.folhaembranco.org

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EXPOSIÇÃO RETROSPECTIVA FRED FOREST

EXPOSIÇÃO RETROSPECTIVA FRED FOREST
PAÇO DAS ARTES.

SÃO PAULO DE 22 DE MAIO A 16 DE JULHO DE 2006.

CURATOR: PRISCILA ARANTES

UM ACONTECIMENTO QUE SAI DO QUADRO DAS APRESENTAÇÕES HABITUAIS DA ARTE CONTEMPORNEA.
Victoria Daniela Bousso, Diretora do PAÇO DAS ARTES , apresenta
com o apoio do Consulado Geral da França, l’AFAA, l’INA,
Fundação Cartier, e Epson América Latina, o artista francês Fred Forest, pioneiro do Vídeo Arte e da Net Arte.
Este artista singular deu origem a dois movimentos artísticos importantes, o da Arte Sociológica e o da Estética da Comunicação é uma figura carismática e em evidência da cena artística a mais de trinta anos.
Fora do sistema da arte ele desenvolveu com uma exemplar constância uma pratica sócio-critica importantíssima.
Ele utiliza as novas tecnologias de comunicação de maneira inventiva numa relação de participação de dialógico com o público.
A sua retrospectiva no PAÇO DAS ARTES vai apresentar pela primeira vez a sua ação histórica no âmbito da XIIe Bienal da São Paulo, que lhe valeu o "Grande premio da comunicação"... e a sua detenção pela polícia do regime militar da época.
Fred Forest participou na Documenta 7 de Kassel, ele representou a França na 76e Bienal de Veneza e o conjunto da sua obra integrou o património nacional Francês em Julho de 2OO4.
Ele é Doutor da Universidade Sorbonne e professor emérito da Universidade de Nice.

PARCEIROS :

- FUNDAÇÃO CARTIER
- CONSULADO GERAL DA FRANÇA EM SÃO PAULO
- INA (Instituto Nacional do Audiovisual)
- EPSON BRASIL
- AFAA